Moins qu’hier, mais plus que demain

J’en parlais déjà ici, inéluctablement les dates marquent.

L’anniversaire de ma mère étant le 5 octobre, désormais il est impossible de lui souhaiter sans penser que 3 jours plus tard une autre commémoration se présentera.

La dichotomie des sentiments fait que d’un côté il y a le besoin d’appeler ma soeur. De l’autre l’envie de la laisser seule dans ses pensées du jour. Je choisis la seconde option, celle que moi je voudrais à l’inverse.

2 ans plus tard, il ne s’agit plus de deuil. Chaque jour Dimitri est présent. Chaque jour, mais certains jours un peu plus fortement que d’autres. Aujourd’hui en est un. Forcément.

Dans les tweets qui marquent, celui là a résonné pendant plusieurs jours. « Écrire, c’est tuer le désir d’écrire cette chose là. »

(attribué à Barthes mais je n’ai pas trouvé l’origine vérifiée de la citation)

Une réflexion sur “Moins qu’hier, mais plus que demain

  1. J’ ai pensé t’envoyer un mot le 8
    Et puis je me suis dit que non
    Qu’il fallait laisser cette journée se passer sans rappel
    Visiblement c’est ce qu’il fallait faire , je le saurai désormais

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